La vitamine C que ce soit en cosmétique ou dans le milieu médical, est connue et reconnue comme anti-oxydante et anti-inflammatoire. Les médecins la recommandent pour booster notre système immunitaire, les dermatologues l’adorent en soin anti-âge préventif et « curatif ».
En effet, elle intervient dans nombre de processus physiologiques qui, s’ils diminuent, mènent au vieillissement. Le corps ne peut la synthétiser, seuls des apports extérieurs (nutritifs ou cosmétiques) peuvent renforcer sa concentration.
La vitamine C dans les cosmétiques, ses bienfaits
Utilisée en cosmétique, la vitamine C :
- est éclaircissante (limite l’apparition de taches) et unifie le teint en régulant la mélanogénèse (synthèse de la mélanine, responsable de la couleur de la peau)
- promeut la synthèse du collagène et de l’acide hyaluronique (en boostant l’activité des fibroblastes, cellules du derme), deux éléments essentiels à la souplesse et l’hydratation de la peau
- renforce les parois des vaisseaux capillaires et limite ainsi l’apparition de la couperose
- est enfin et surtout une molécule anti-oxydante puissante, qui va lutter contre le stress oxydatif dû au vieillissement, à la pollution, au stress de la vie de tous les jours, au soleil…
Un anti-âge donc, préventif et curatif !
Pour toutes ces raisons, la vitamine C dans les soins cosmétiques anti-âge est TRÈS intéressante et TRÈS efficace, encore faut–il qu’elle soit active et pénètre a minima dans l’épiderme (couche superficielle de la peau).
Le challenge de formulation d’un cosmétique comprenant de la vitamine C
1er challenge, et pas des moindres : garder la vitamine C active !
La vitamine C est hydrosoluble (soluble dans l’eau) et de plus, très sujette à l’oxydation. Ainsi, en milieu aqueux elle est instable et va s’oxyder très rapidement pour finalement devenir … inactive !
Sa stabilité en milieu aqueux s’améliore en pH plus acide, mais alors la solution peut devenir irritante pour la peau.
Ainsi, dans une crème contenant de la vitamine C, les formulateurs sont obligés d’avoir des pH les plus faibles possibles, d’ajouter des stabilisateurs divers et variés, pour garantir qu’un minimum de vitamine C reste active sur toute la durée de vie du cosmétique (en rayon… puis chez l’utilisateur final).
Cela implique des formules parfois instables, pas toujours bien tolérées, et comprenant de nombreux ingrédients supplémentaires qui allongent la liste de composition (liste INCI), et qui ne sont pas nécessaires à la peau… Et au final, la concentration réelle d’une crème en vitamine C est souvent, lors de l’application, diminuée de moitié par rapport à celle annoncée … ou moins encore.
C’est ce qui explique que l’on voit de plus en plus de sérums proposés en kit avec une capsule contenant de la poudre de vitamine C sèche, à préparer après l’achat, par ajout dans le flacon de sérum juste avant l’utilisation à la maison. La vitamine C est ainsi stable tant qu’elle n’a pas été mise en contact avec le sérum aqueux, mais même ainsi, elle ne restera alors stable que quelques semaines (3 à 4 maximum d’après les spécialistes).
2ème challenge : la faire pénétrer dans l’épiderme
Comme évoqué plus tôt, la vitamine C est hydrosoluble et non liposoluble (soluble dans l’huile), elle n’a donc pas d’affinité avec les corps gras et les « repousse ». Comment, alors, la faire pénétrer à travers la couche cornée, majoritairement grasse ? Dans les crèmes et sérums classiques, deux solutions sont le plus souvent utilisées :
- une formulation en pH acide pour « fragiliser » le ciment lipidique superficiel qui compose la couche cornée, et aider la vitamine C à s’y faufiler (on en a vu les inconvénients)
- une formulation avec de nombreux »tensioactifs », molécules qui aiment l’eau et l’huile et vont donc aider la vitamine C à s’insérer dans la couche cornée. Mais ces molécules n’ont aucun intérêt pour la peau en termes de nutrition ou de protection. Elles ne sont là que par contraintes de formulation, en tant que « facilitatrices » de pénétration.
EPICOSM propose une autre solution qui permet de répondre à ces deux challenges !
La vitamine C utilisée par EPICOSM
Nos oléo-sérums sont à base d’huiles végétales, sans eau, car la peau n’a pas besoin d’eau, mais de corps gras pour être nourrie, protégée, hydratée. De ce fait, la vitamine C n’y est pas soluble et ne peut y être formulée sous sa forme naturelle.
Nous avons donc choisi « l’ascorbyl tétra-isopalmitate », une vitamine C modifiée dont la tolérance et l’innocuité ont été largement validées. Une molécule de vitamine C est alors « attachée » à 4 molécules d’acide palmitique (acide gras naturel), rendant la vitamine C ainsi modifiée… liposoluble. Cette molécule est extrêmement stable, insensible à l’oxydation, et non irritante pour la peau. De plus elle va aisément traverser la couche cornée, puisqu’en parfaite affinité avec elle !
Ce n’est qu’après application, une fois au contact de l’eau interne de l’épiderme ou du derme que les liaisons entre la vitamine C et les molécules d’acide palmitique vont se rompre. Ceci par l’intermédiaire des estérases, enzymes, présentes dans la peau, et libérer la molécule de vitamine C « active ».
- Une vitamine C « liposoluble » stable sur le long terme en milieu huileux
- Une forme de vitamine C qui va pénétrer à travers la couche cornée superficielle de manière optimisée, sans risque d’irritation ou de pH trop agressif
- Une libération de la forme active de la vitamine C après sa pénétration au sein de l’épiderme ou du derme
Les oléo-sérums Anti-Taches & Eclat et Eclat & Fermeté sont ainsi des soins à la vitamine C vraiment efficaces et non-irritants !
Résultat : une peau hydratée, protégée, régénérée, lisse, teint unifié et éclatant !